Déplier
Déplier est une proposition musicale et plastique pensée et jouée pour la rue et les espaces publics.
L’origami grand format en mouvement dialogue avec les lieux,
leur mémoire, leur présence comme témoins de nos pas d’hier, d’aujourd’hui et de demain.
Le papier se dépliant à l’infini au fil de la musique et des jeux d’ombre et de lumière,
offre un regard poétique aux spectateurs sur les murs, la couleur du temps de leurs pierres, le pavé incessamment foulé,
les recoins oubliés, les ouvertures possibles,
les passages connus ou ignorés, les espaces appelant
un temps de pause...
Le répertoire musical, choisi dans la période
Renaissance-baroque, se compose de chants interprétés par un chanteur et un joueur de viole de gambe.
Comme l’écrit Deleuze dans «Le Pli» :
«Le trait du baroque, c’est le pli qui va à l’infini.».
C’est aussi un éloge de la lenteur et de la douceur dans la rencontre entre cette musique et le mouvement délicat du papier.
Un ode de délicatesse à la rue, à nos corps à déplier au gré de celle-ci, pour qu’elle reste infinie.
«Plier-déplier ne signifie plus simplement tendre-détendre, contracter – dilater, mais envelopper – développer, involuer- évoluer. (…) Le plus simple est de dire que déplier, c’est augmenter, croître, et plier, diminuer, réduire, « rentrer dans l’enfoncement d’un monde » .
Le Pli, Gilles Deleuze.
Angélique Cormier : plieuse-performeuse, directrice artistique
Grégory Mariscal : chanteur
Benjamin Garnier : gambiste
L’origami grand format en mouvement dialogue avec les lieux,
leur mémoire, leur présence comme témoins de nos pas d’hier, d’aujourd’hui et de demain.
Le papier se dépliant à l’infini au fil de la musique et des jeux d’ombre et de lumière,
offre un regard poétique aux spectateurs sur les murs, la couleur du temps de leurs pierres, le pavé incessamment foulé,
les recoins oubliés, les ouvertures possibles,
les passages connus ou ignorés, les espaces appelant
un temps de pause...
Le répertoire musical, choisi dans la période
Renaissance-baroque, se compose de chants interprétés par un chanteur et un joueur de viole de gambe.
Comme l’écrit Deleuze dans «Le Pli» :
«Le trait du baroque, c’est le pli qui va à l’infini.».
C’est aussi un éloge de la lenteur et de la douceur dans la rencontre entre cette musique et le mouvement délicat du papier.
Un ode de délicatesse à la rue, à nos corps à déplier au gré de celle-ci, pour qu’elle reste infinie.
«Plier-déplier ne signifie plus simplement tendre-détendre, contracter – dilater, mais envelopper – développer, involuer- évoluer. (…) Le plus simple est de dire que déplier, c’est augmenter, croître, et plier, diminuer, réduire, « rentrer dans l’enfoncement d’un monde » .
Le Pli, Gilles Deleuze.
Angélique Cormier : plieuse-performeuse, directrice artistique
Grégory Mariscal : chanteur
Benjamin Garnier : gambiste